Recette technique OSP 2025

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Introduction ? - ?

Étapes de la concertation

Changements sur "Réaliser des fresques honorant les héritiers de la soierie et proposer leur inscription sur des parcours urbains"

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Localisation

+2ᴱ arrondissement

Titre

+{"fr"=>"Réaliser des fresques honorant les héritiers de la soierie et proposer leur inscription sur des parcours urbains"}

Corps du texte

+["La soierie est bien reconnue à La Croix-Rousse au travers de\nquelques ateliers sauvegardés et d’une certaine communication.\n\nMais la soierie n’est plus ce qu’elle a été.\nPour autant l’agglomération lyonnaise ne manque pas d’héritiers\nindustriels de cette activité historique.\nLes activités pour traiter la soie comme, par exemple, les\nopérations de fabrication des teintures, ont débouché sur celles\ndes industries de la chimie et, au-delà, celles de la pharmacie.\nLes sophistications des métiers à tisser ont permis le\ndéveloppement d’une culture de la mécanique et des industries\nassociées.\nDes noms de familles illustres ont été intimement liés à ces\ntransitions.\nLa famille Gillet a joué un rôle majeur dans le développement du\nsecteur de la chimie (création du Groupe Rhône Poulenc et de ses\nsatellites dont les héritiers continuent de constituer des\nfleurons des entreprises lyonnaises)\nLa famille Berliet s’est illustrée dans la construction\nautomobile, et plus particulièrement dans celle des camions, dont\nRenault Trucks est aujourd’hui le prolongement.\n\nLa famille Gillet a marqué le quartier avec ses usines en bord de\nSaône (disparues) et sa maison familiale qui reste un élément\nmarquant du patrimoine, au cœur du Parc de la Cerisaie.\n\nLa famille Berliet a vécu rue Barodet (N°20) dans une maison\ndisparue aujourd’hui. Marius Berliet a construit son premier\nmoteur et sa première voiture à proximité de cette maison, à la\nfin du XIXème siècle.\n\nAinsi, le quartier pourrait valoriser la genèse des industries\nlyonnaises.\nLe projet proposé consiste en la réalisation de fresques murales\nrue Barodet et rue Chazière, honorant ces acteurs majeurs, issus\ndu milieu de la soierie et aux sources de l’industrie lyonnaise\nd’aujourd’hui (emplacements à définir avec les riverains et les\nassociations citoyennes, contenu à préciser avec les historiens\nou érudits concernés par l’histoire industrielle, comme la\nFondation Berliet).\n\nCes réalisations, au Centre et à l’Ouest du quartier, pourraient\nalors s’inscrire dans un parcours commun avec celui permettant de\nvisiter les ateliers de canuts, plutôt installés à l’Est.\n(noter que l’ancienne maison Berliet, aujourd’hui disparue, était\npresqu’en face de l’établissement de la manufacture Prelle qui,\nlui, est toujours existant et qui pourrait être valorisé dans le\nmême parcours).\n\nLe Mur des Canuts se situe à l’articulation entre l’Est et\nl’Ouest et devrait évidemment représenter une étape et un pivot\ndu parcours pour accéder à la rue Barodet.\nLe parcours d’Est en Ouest pourrait traverser des espaces comme\nle Clos Carret ou le Parc Popy pour rejoindre le Parc de La\nCerisaie et ainsi valoriser et associer une autre dimension du\nquartier …\n\nCe parcours d’Est en Ouest sur le Plateau pourrait être proposé\ncomme un prolongement d’une visite de l’Est des Pentes (montée\npar les traboules) et pourrait aussi trouver d’autres\nprolongements et articulations en direction de l’Ouest des\nPentes, que ce soit vers l’église Saint Bruno ou que ce soit\nencore vers les environs du Fort Saint Jean et vers les Jardins\ndes Chartreux pour permettre la proposition de superbes boucles\nde visite ...."]

+["La soierie est bien reconnue à La Croix-Rousse au travers de\nquelques ateliers sauvegardés et d’une certaine communication.\n\nMais la soierie n’est plus ce qu’elle a été.\nPour autant l’agglomération lyonnaise ne manque pas d’héritiers\nindustriels de cette activité historique.\nLes activités pour traiter la soie comme, par exemple, les\nopérations de fabrication des teintures, ont débouché sur celles\ndes industries de la chimie et, au-delà, celles de la pharmacie.\nLes sophistications des métiers à tisser ont permis le\ndéveloppement d’une culture de la mécanique et des industries\nassociées.\nDes noms de familles illustres ont été intimement liés à ces\ntransitions.\nLa famille Gillet a joué un rôle majeur dans le développement du\nsecteur de la chimie (création du Groupe Rhône Poulenc et de ses\nsatellites dont les héritiers continuent de constituer des\nfleurons des entreprises lyonnaises)\nLa famille Berliet s’est illustrée dans la construction\nautomobile, et plus particulièrement dans celle des camions, dont\nRenault Trucks est aujourd’hui le prolongement.\n\nLa famille Gillet a marqué le quartier avec ses usines en bord de\nSaône (disparues) et sa maison familiale qui reste un élément\nmarquant du patrimoine, au cœur du Parc de la Cerisaie.\n\nLa famille Berliet a vécu rue Barodet (N°20) dans une maison\ndisparue aujourd’hui. Marius Berliet a construit son premier\nmoteur et sa première voiture à proximité de cette maison, à la\nfin du XIXème siècle.\n\nAinsi, le quartier pourrait valoriser la genèse des industries\nlyonnaises.\nLe projet proposé consiste en la réalisation de fresques murales\nrue Barodet et rue Chazière, honorant ces acteurs majeurs, issus\ndu milieu de la soierie et aux sources de l’industrie lyonnaise\nd’aujourd’hui (emplacements à définir avec les riverains et les\nassociations citoyennes, contenu à préciser avec les historiens\nou érudits concernés par l’histoire industrielle, comme la\nFondation Berliet).\n\nCes réalisations, au Centre et à l’Ouest du quartier, pourraient\nalors s’inscrire dans un parcours commun avec celui permettant de\nvisiter les ateliers de canuts, plutôt installés à l’Est.\n(noter que l’ancienne maison Berliet, aujourd’hui disparue, était\npresqu’en face de l’établissement de la manufacture Prelle qui,\nlui, est toujours existant et qui pourrait être valorisé dans le\nmême parcours).\n\nLe Mur des Canuts se situe à l’articulation entre l’Est et\nl’Ouest et devrait évidemment représenter une étape et un pivot\ndu parcours pour accéder à la rue Barodet.\nLe parcours d’Est en Ouest pourrait traverser des espaces comme\nle Clos Carret ou le Parc Popy pour rejoindre le Parc de La\nCerisaie et ainsi valoriser et associer une autre dimension du\nquartier …\n\nCe parcours d’Est en Ouest sur le Plateau pourrait être proposé\ncomme un prolongement d’une visite de l’Est des Pentes (montée\npar les traboules) et pourrait aussi trouver d’autres\nprolongements et articulations en direction de l’Ouest des\nPentes, que ce soit vers l’église Saint Bruno ou que ce soit\nencore vers les environs du Fort Saint Jean et vers les Jardins\ndes Chartreux pour permettre la proposition de superbes boucles\nde visite ...."]

Suppressions

Ajouts

+["La soierie est bien reconnue à La Croix-Rousse au travers de\nquelques ateliers sauvegardés et d’une certaine communication.\n\nMais la soierie n’est plus ce qu’elle a été.\nPour autant l’agglomération lyonnaise ne manque pas d’héritiers\nindustriels de cette activité historique.\nLes activités pour traiter la soie comme, par exemple, les\nopérations de fabrication des teintures, ont débouché sur celles\ndes industries de la chimie et, au-delà, celles de la pharmacie.\nLes sophistications des métiers à tisser ont permis le\ndéveloppement d’une culture de la mécanique et des industries\nassociées.\nDes noms de familles illustres ont été intimement liés à ces\ntransitions.\nLa famille Gillet a joué un rôle majeur dans le développement du\nsecteur de la chimie (création du Groupe Rhône Poulenc et de ses\nsatellites dont les héritiers continuent de constituer des\nfleurons des entreprises lyonnaises)\nLa famille Berliet s’est illustrée dans la construction\nautomobile, et plus particulièrement dans celle des camions, dont\nRenault Trucks est aujourd’hui le prolongement.\n\nLa famille Gillet a marqué le quartier avec ses usines en bord de\nSaône (disparues) et sa maison familiale qui reste un élément\nmarquant du patrimoine, au cœur du Parc de la Cerisaie.\n\nLa famille Berliet a vécu rue Barodet (N°20) dans une maison\ndisparue aujourd’hui. Marius Berliet a construit son premier\nmoteur et sa première voiture à proximité de cette maison, à la\nfin du XIXème siècle.\n\nAinsi, le quartier pourrait valoriser la genèse des industries\nlyonnaises.\nLe projet proposé consiste en la réalisation de fresques murales\nrue Barodet et rue Chazière, honorant ces acteurs majeurs, issus\ndu milieu de la soierie et aux sources de l’industrie lyonnaise\nd’aujourd’hui (emplacements à définir avec les riverains et les\nassociations citoyennes, contenu à préciser avec les historiens\nou érudits concernés par l’histoire industrielle, comme la\nFondation Berliet).\n\nCes réalisations, au Centre et à l’Ouest du quartier, pourraient\nalors s’inscrire dans un parcours commun avec celui permettant de\nvisiter les ateliers de canuts, plutôt installés à l’Est.\n(noter que l’ancienne maison Berliet, aujourd’hui disparue, était\npresqu’en face de l’établissement de la manufacture Prelle qui,\nlui, est toujours existant et qui pourrait être valorisé dans le\nmême parcours).\n\nLe Mur des Canuts se situe à l’articulation entre l’Est et\nl’Ouest et devrait évidemment représenter une étape et un pivot\ndu parcours pour accéder à la rue Barodet.\nLe parcours d’Est en Ouest pourrait traverser des espaces comme\nle Clos Carret ou le Parc Popy pour rejoindre le Parc de La\nCerisaie et ainsi valoriser et associer une autre dimension du\nquartier …\n\nCe parcours d’Est en Ouest sur le Plateau pourrait être proposé\ncomme un prolongement d’une visite de l’Est des Pentes (montée\npar les traboules) et pourrait aussi trouver d’autres\nprolongements et articulations en direction de l’Ouest des\nPentes, que ce soit vers l’église Saint Bruno ou que ce soit\nencore vers les environs du Fort Saint Jean et vers les Jardins\ndes Chartreux pour permettre la proposition de superbes boucles\nde visite ...."]

Suppressions

Ajouts

+["La soierie est bien reconnue à La Croix-Rousse au travers de\nquelques ateliers sauvegardés et d’une certaine communication.\n\nMais la soierie n’est plus ce qu’elle a été.\nPour autant l’agglomération lyonnaise ne manque pas d’héritiers\nindustriels de cette activité historique.\nLes activités pour traiter la soie comme, par exemple, les\nopérations de fabrication des teintures, ont débouché sur celles\ndes industries de la chimie et, au-delà, celles de la pharmacie.\nLes sophistications des métiers à tisser ont permis le\ndéveloppement d’une culture de la mécanique et des industries\nassociées.\nDes noms de familles illustres ont été intimement liés à ces\ntransitions.\nLa famille Gillet a joué un rôle majeur dans le développement du\nsecteur de la chimie (création du Groupe Rhône Poulenc et de ses\nsatellites dont les héritiers continuent de constituer des\nfleurons des entreprises lyonnaises)\nLa famille Berliet s’est illustrée dans la construction\nautomobile, et plus particulièrement dans celle des camions, dont\nRenault Trucks est aujourd’hui le prolongement.\n\nLa famille Gillet a marqué le quartier avec ses usines en bord de\nSaône (disparues) et sa maison familiale qui reste un élément\nmarquant du patrimoine, au cœur du Parc de la Cerisaie.\n\nLa famille Berliet a vécu rue Barodet (N°20) dans une maison\ndisparue aujourd’hui. Marius Berliet a construit son premier\nmoteur et sa première voiture à proximité de cette maison, à la\nfin du XIXème siècle.\n\nAinsi, le quartier pourrait valoriser la genèse des industries\nlyonnaises.\nLe projet proposé consiste en la réalisation de fresques murales\nrue Barodet et rue Chazière, honorant ces acteurs majeurs, issus\ndu milieu de la soierie et aux sources de l’industrie lyonnaise\nd’aujourd’hui (emplacements à définir avec les riverains et les\nassociations citoyennes, contenu à préciser avec les historiens\nou érudits concernés par l’histoire industrielle, comme la\nFondation Berliet).\n\nCes réalisations, au Centre et à l’Ouest du quartier, pourraient\nalors s’inscrire dans un parcours commun avec celui permettant de\nvisiter les ateliers de canuts, plutôt installés à l’Est.\n(noter que l’ancienne maison Berliet, aujourd’hui disparue, était\npresqu’en face de l’établissement de la manufacture Prelle qui,\nlui, est toujours existant et qui pourrait être valorisé dans le\nmême parcours).\n\nLe Mur des Canuts se situe à l’articulation entre l’Est et\nl’Ouest et devrait évidemment représenter une étape et un pivot\ndu parcours pour accéder à la rue Barodet.\nLe parcours d’Est en Ouest pourrait traverser des espaces comme\nle Clos Carret ou le Parc Popy pour rejoindre le Parc de La\nCerisaie et ainsi valoriser et associer une autre dimension du\nquartier …\n\nCe parcours d’Est en Ouest sur le Plateau pourrait être proposé\ncomme un prolongement d’une visite de l’Est des Pentes (montée\npar les traboules) et pourrait aussi trouver d’autres\nprolongements et articulations en direction de l’Ouest des\nPentes, que ce soit vers l’église Saint Bruno ou que ce soit\nencore vers les environs du Fort Saint Jean et vers les Jardins\ndes Chartreux pour permettre la proposition de superbes boucles\nde visite ...."]

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Auteur de la version

Dimitri Bedu

Version créée le 25/02/2025 17:42